2 FEVRIER JOURNEE DE LA VIE CONSACREE
Ils vivent de la difficile fraternité sans se choisir, cela n’est pas si simple.
Ils trouvent leur richesse en choisissant la pauvreté.
Ils aiment à tout coeur en choisissant le célibat.
Ils deviennent libres en choisissant d’obéir au Christ.
Ils nous provoquent, sans le dire, sur notre manière très mondaine et fragile de concevoir ce que nous appelons »la réussite ».
Ils nous aident, sans le savoir, à vivre nos autres choix de vie, quels qu’ils soient, en pleine vie laïque on dans les différents ministères que nous confie l’Eglise.
Ils sont des sortes de »boussoles » dans un monde déboussolé…
Ils trouvent leur richesse en choisissant la pauvreté.
Ils aiment à tout coeur en choisissant le célibat.
Ils deviennent libres en choisissant d’obéir au Christ.
Ils nous provoquent, sans le dire, sur notre manière très mondaine et fragile de concevoir ce que nous appelons »la réussite ».
Ils nous aident, sans le savoir, à vivre nos autres choix de vie, quels qu’ils soient, en pleine vie laïque on dans les différents ministères que nous confie l’Eglise.
Ils sont des sortes de »boussoles » dans un monde déboussolé…
Qu’on les regarde aujourd’hui, même s’ils ne sont plus très jeunes dans leur majorité, qu’ils soient des moines ou des moniales, ou frères et soeurs en mission apostolique, ils sont sans nom, sans gloire.
Religieux et religieuses de tous les jours. Serviteurs discrets de l’ordinaire, toujours le même, sans grandeur autre que celle d’un bonheur à partager avec un coeur qui recommence chaque matin son espérance.
Ils ne savent pas la plus petite pluie quotidienne de miracles ordinaires dont ils sont, grâce au Christ, la source. Ils tissent, sans aucun bruit, de l’amour simple à journée pleine.
Avec leurs limites bien sûr. Mais finalement si peu.
Avec leur foi ils rendent un immense service gratuitement, discrètement, jour après jour et auprès de tous, croyants ou incroyants.
Religieux et religieuses de tous les jours. Serviteurs discrets de l’ordinaire, toujours le même, sans grandeur autre que celle d’un bonheur à partager avec un coeur qui recommence chaque matin son espérance.
Ils ne savent pas la plus petite pluie quotidienne de miracles ordinaires dont ils sont, grâce au Christ, la source. Ils tissent, sans aucun bruit, de l’amour simple à journée pleine.
Avec leurs limites bien sûr. Mais finalement si peu.
Avec leur foi ils rendent un immense service gratuitement, discrètement, jour après jour et auprès de tous, croyants ou incroyants.
Parole de Mgr François Garnier évêque de Luçon présentant les religieux et religieuses au Pape Jean-Paul II à Saint-Laurent-sur-Sèvre, le 19 septembre 1996.